Comment choisir son arbre fruitier et éviter les erreurs de parcours ?
Notre article précédent parle de la plantation des arbres fruitiers dans son jardin, en respectant certaines règles et étapes, nécessaire à leur croissance. Certaines espèces d’arbres fruitiers sont auto-fertiles, c’est-à-dire, qu’ils n’ont nullement besoin de la proximité de leurs congénères pour fructifier, un détail qui a son importance si vous ne possédez de la place, que pour un pied.
Les vergers qui produisent des pommes et des poires ne pourront pas se passer d’un pollinisateur pour fructifier. Le choix d’un arbre fruitier tient compte principalement du climat de votre région et vous serez rapidement informé des récoltes de fruits les plus populaires dans votre secteur. Voyons, comment éviter les erreurs de parcours dans le choix d’un arbre fruitier.
Quelques clés pour réussir son choix d’arbre fruitier
- La pollinisation, comme déjà évoquée plus haut, est une étape importante à connaître dans le choix d’une variété d’arbres fruitiers, le pêcher peut très bien vivre tout seul, mais s’il est accompagné de fidèles de son espèce, il sera plus généreux dans sa récolte.
- Les porte-greffe (pieds issus de semis), la majorité des arbres fruitiers sont nés d’une greffe et portent en eux les propriétés du porteur de la greffe de la variété greffée et ces fameuses propriétés permettent de savoir la quantité de feuillage, la résistance aux maladies et la récolte des fruits. C’est ainsi qu’un porte-greffe connu pour être de faible végétation produira des fruits, plus rapidement.
- Le climat, un critère essentiel qui dépend de votre région que vous soyez situé au nord ou au sud, 3 principaux types de climat ; le climat froid, un climat qui présente une importante différence d’ensoleillement entre l’été et l’hiver. Le climat moyen, les hivers sont moins froids, les étés moins caniculaires et les pluies, régulières. Le climat chaud, l’été est très chaud et sec, l’hiver est doux.
Pour exemple, les poiriers sont des arbres fruitiers qui résistent à tous les climats, mais craignent les températures trop froides ou trop humides. Les pommiers sont encore plus résistants et supportent jusqu’à -30°, le pêcher n’est pas très fragile et s’adapte à tous les climats, toutefois, il craint le froid et la sécheresse.
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